La Corée du Nord préparerait le tir de son deuxième satellite espion militaire, mais le lancement ne serait pas imminent. C’est ce qu’a fait savoir, aujourd’hui, l’état-major interarmées sud-coréen (JCS).
Son responsable de la communication, Lee Seong-jun, a déclaré qu’il serait difficile de prévoir la date exacte. Avant d’ajouter que les autorités militaires surveillent les mouvements concernés. Celles-ci et les experts avaient prévu que Pyongyang procéderait à un tir en mars dernier ou début avril. Le ministre sud-coréen de la Défense, Shin Won-sik, avait estimé, le 8 avril, que le régime de Kim Jong-un faisait des compléments sur le plan technique. Il avait prévu que Pyongyang pourrait tirer fin avril.
Le Centre d'études stratégiques et internationales (CSIS), basé à Washington, avait estimé, le 16 avril, que la Corée du Nord aurait annulé le lancement de son deuxième engin.