L’équipe du procureur indépendant Park Young-soo s’apprête dorénavant à se préparer à l’extradition de Jeong Yu-ra. Même si elle ne sait pas exactement quand ce rapatriement aura lieu.
 
Pour ses enquêteurs, c’est aux autorités judiciaires danoises d’en décider la date. Si elles la jugeaient comme une étrangère en situation illégale avec un visa expiré, elles pourraient la livrer d’ici quelques jours. Mais dans le cas contraire, son extradition pourrait être considérablement retardée.
 
L’équipe de Park Young-soo fait le nécessaire pour annuler le visa de Jeong. Mais sa mesure va entrer en vigueur seulement le 10 janvier. Alors, même si les autorités danoises décident de l’extrader, ce ne sera possible qu’après cette date.
 
En fait, lorsqu’elle a été arrêtée par la police locale, elle a annoncé son intention de rentrer à Séoul de son propre gré dans un délai de trois jours, si elle est relâchée immédiatement. Mais le ministère sud-coréen de la Justice a réclamé la prolongation de sa détention jusqu’au 30 janvier afin de l’empêcher de s’enfuir avant le 10 janvier.

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