La Corée du Sud et le Japon ont repris hier à Séoul les discussions sur le dossier épineux des femmes de réconfort. Il s’agissait de la septième édition de la réunion de rang de directeur général aux ministères des Affaires étrangères des deux pays.

Cette fois, ils ne se sont pas contentés de camper sur leurs positions à l’égard de cette question qui empoisonne leurs relations. Un responsable du ministère de Séoul a annoncé qu’ils avaient fait des efforts « pour trouver un terrain d’entente par un dialogue significatif ». Cela dit, leurs discussions n'ont pas vraiment progressé.

Hier, outre le dossier des femmes de réconfort, Séoul a de nouveau demandé à Tokyo les documents concernant la fouille de la dépouille d’Ahn Jung-geun, un militant indépendantiste coréen, qui a assassiné Hirobumi Ito, premier Résident général japonais en Corée.

Le Japon est pour sa part revenu notamment sur l’inculpation de l’ex chef du bureau à Séoul de Sankei Shimbun par le parquet sud-coréen.

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