Le montant des exportations des sauces « made in Korea » s’est approché, l’année dernière, des 400 millions de dollars. Selon les chiffres publiés, aujourd’hui, par le Service des douanes, il s’est élevé plus exactement à 384 millions. Il s’agit d’une augmentation de 6,2 % en glissement annuel. Et, comparé à l’avant crise du COVID-19, c’est une progression de 48,6 %. Quant au nombre de pays qui importent les k-sauces, il s’élève désormais à 139, au lieu de 123 en 2020.
Ce succès phénoménal s’explique en grande partie par la hallyu. En effet, avec la diffusion des films et des séries télévisées sud-coréens à travers le monde, de plus en plus d’étrangers ont envie d’essayer la cuisine du pays du Matin clair. Certains finissent même par en devenir accros.
Parmi les k-sauces qui ont le vent en poupe, on peut citer celle de buldak, de bulgogi ou encore celle de chicken. La première, comme son nom, qui signifie « poulet de feu », vous le laisse deviner, est à base de poulet et est très épicée. La suivante, sert à préparer le fameux barbecue coréen. Quant à la dernière, elle est indispensable pour préparer le poulet frit croustillant à la coréenne.