Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères a fait savoir hier que Séoul et Tokyo continuent de réduire peu à peu les différences de point de vue par rapport à l’indemnisation des victimes du travail forcé, laissant entendre qu’une solution se concrétise progressivement.
Pour rappel, le 29 novembre dernier, un diplomate a dit qu’ils avaient vu leurs opinions se rapprocher davantage. Et, mardi dernier, le ministre sud-coréen des Affaires étrangères, Park Jin, a rencontré des personnes ayant de profondes connaissances dans les relations coréano-japonaises pour demander leurs avis.
De son côté, la nouvelle directrice générale du bureau de l'Asie-Pacifique, Seo Min-jeong, s’est rendue le 7 décembre à Gwangju pour expliquer à des victimes le résultat de la discussion entre les deux pays et écouter leur voix.
Le ministère a souligné qu’il continuerait à recueillir les diverses positions dans le but d’accélérer le dialogue diplomatique avec le Japon. Avant d’ajouter qu’il ne mettrait toutefois pas de point final à la question avant de recenser les avis des victimes.