En 2020, si les investissements directs étrangers (IDE) en Corée du Sud ont chuté, sa capitale a enregistré une hausse pour la quatrième année de suite. C’est ce qu’on peut constater dans les données communiquées par le gouvernement métropolitain de Séoul.
Dans le détail, au niveau national, les IDE ont fondu de 11 % par rapport à l’année précédente, à 20,7 milliards de dollars, tandis que ceux destinés à la première ville du pays ont progressé pour s’élever à 10,2 milliards de dollars. Un record historique. C’est la deuxième année consécutive que le montant dépasse la barre des 10 milliards de dollars.
Quelles sont alors les premières filières d’accueil des IDE ? Il s’agit principalement des secteurs de la finance et des assurances, ainsi que des industries nouvelles.
La municipalité de Séoul a précisé que l’an dernier, les investissements dits « greenfield » plus particulièrement avaient progressé. Il s’agit plus précisément de créer un fonds global ou de placer directement des capitaux dans des entreprises du pays d'accueil, via les startups ou les institutions bancaires.