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Intérieur

Wianbu : le gouvernement envisage de fermer « Notre maison de paix »

Write: 2020-06-12 14:17:39Update: 2020-06-12 15:00:15

Wianbu : le gouvernement envisage de fermer « Notre maison de paix »

Photo : YONHAP News

Sur fond de polémique à l’égard du Conseil coréen pour la justice et la mémoire, Gil Won-wok, l’une des victimes de l’esclavage sexuel perpétré par l’armée japonaise pendant la Seconde guerre civile, a récemment quitté « Notre maison de paix », un établissement géré par l’association incriminée.

L’ONG chargée de défendre la cause des femmes de réconfort est soupçonnée, entre autres, d’avoir détourné des dons collectés à des fins inappropriées. Par ailleurs, la directrice de l’établissement d’accueil s'est suicidée, samedi dernier, suite à cette controverse qui prend de plus en plus d’ampleur.

Dans ce contexte, le ministère de l’Egalité des sexes et de la Famille a fait allusion, aujourd’hui, à l'éventuelle fermeture de cette maison de repos, étant donné qu’il n’y demeure, actuellement, aucune ancienne « wianbu ». Le responsable du ministère a cependant ajouté que rien de concret n’avait été encore acté et que le gouvernement allait en discuter avec l’organisation en question.

Interrogé sur les soupçons pesant sur la gestion laxiste de la subvention de l’État de la part du conseil, cet officiel a répondu que le ministère était en train de vérifier les documents concernés et qu’il traiterait légalement cette affaire.

Enfin, concernant la critique selon laquelle le ministère n’a pas remis certains documents demandés par le Parti du Futur Unifié (PFU), la première force d’opposition conservatrice, le fonctionnaire a invoqué le risque de fuite d’informations personnelles des ex-femmes de réconfort.

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