L’an dernier, la part des terres sud-coréennes détenues par des étrangers a progressé de 1 %, alors que celle des Chinois recule d’année en année.
Selon les données publiées par le ministère de l’Aménagement du territoire et des Transports, les terres appartenant à des propriétaires étrangers ont totalisé près de 242 millions de m², soit 0,2 % de la superficie du territoire du pays en 2018.
Ce sont les Américains qui arrivent en tête, avec 52 % des terrains possédés par des étrangers, suivis par les Chinois (7,8 %), les Japonais (7,6 %) et les Européens (7,4 %).
Quant à la nature des terres en question, les champs agricoles et forestiers représentent la plus grande part, avec 55,2 %. Viennent ensuite les terrains d’usine (24,4 %), les terrains de loisirs (5,1 %), le reste étant réparti entre les logements et les commerces.
Depuis 2016, le rythme de l’augmentation des terres possédées par les étrangers s’est ralenti. En effet, de 2013 à 2015, il a grimpé de 0,5 % à 9,6 %, mais n’a progressé que de 2,3 % en 2016 et 2017 avant de tomber jusqu’à 1 % l’an dernier.