Les députés britanniques ont massivement rejeté l'accord du Brexit pour sortir de l'UE proposé par la Première ministre Theresa May. Ce désaveu a suscité de nombreuses réactions non seulement en Europe mais aussi en Corée du Sud.
Le gouvernement a aussitôt convoqué une conférence des ministères concernés afin de faire le point sur le possible impact sur l’économie nationale, bien qu’il soit considéré comme limité.
Il a alors été décidé de prendre des mesures préventives dans l’hypothèse même d’un « no deal ». Il s’agit de mettre en place une cellule interministérielle chargée de scruter de près le marché financier et de prendre, si nécessaire, des mesures destinées à le stabiliser.
L’exécutif projette également de conclure le plus tôt possible un accord de libre-échange avec le Royaume-Uni après son départ, prévu le 29 mars. Objectif : empêcher les entreprises sud-coréennes qui commercent avec lui de subir des préjudices.