La première « manifestation du mercredi » de l'année a été organisée hier devant l'ambassade du Japon à Séoul.

Il s'agit du 1 368e rassemblement du genre visant à mettre fin à l'esclavage sexuel perpétré par les soldats impériaux japonais lors de la Seconde guerre mondiale.

Les ONG qui défendent les anciennes victimes enrôlées de force ont appelé le gouvernement nippon à présenter ses excuses officielles à ces dernières ainsi qu'à les indemniser légalement.

Les manifestants ont déploré notamment le peu de survivantes. En effet, on n'en compte désormais plus que 26 parmi les 238 « wianbu » déclarées auprès du gouvernement sud-coréen.