Sur les conséquences du mouvement #MeToo, les œuvres de Ko Un pourraient disparaître des manuels scolaires en Corée du Sud.
 
Ce dernier est un poète représentatif du pays du Matin clair qui s’est également fait un nom à l’étranger depuis le début des années 2000. Mais étant accusé de harcèlement sexuel, le ministère de l’Education a demandé aux maisons d’éditions de lui faire savoir d’ici le 7 mars prochain si elles ont l’intention de modifier leurs livres ou pas.
 
Les poèmes de Ko figurent actuellement dans 11 manuels utilisés dans les collèges et lycées sud-coréens.