La Maison bleue a démenti hier l'information diffusée par quelques médias du pays, selon laquelle 500 fonctionnaires de la présidence se sont fait vacciner contre les bacilles actifs de l'anthrax. Elle a, en revanche, précisé dans un communiqué signé par son porte-parole, que l'importation de vaccins contre l’anthrax avait été décidée début 2016 sous l'administration précédente et que le 2 novembre dernier, les vaccins applicables à 120 personnes ont été introduits et conservés dans un hôpital militaire.
La Cheongwadae a ajouté que ces vaccins n'avaient pas encore achevé le processus d’expérimentation clinique et qu'ils ne sont donc voués qu'au traitement d'éventuels contaminés. Son porte-parole, Park Su-hyun, a souligne que des vaccins applicables à 1 000 personnes ont également été importés pour un usage civil.
Dans la foulée, il a laisse entendre que la Maison bleue formerait un recours juridique contre les médias en question qui « n'avait pas suffisamment vérifié les faits».