Plus de la moitié des particules fines qui couvrent la Corée du Sud serait engendré dans le pays alors que 34 % d'entre elles proviendraient de la Chine et 9 % de la Corée du Nord.
D'après le résultat d'une étude conjointe menée par la NASA et le gouvernement sud-coréen entre mai et juin derniers, il y aurait également des jours où leur quantité dépasse le plafond recommandé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) rien qu'à cause des facteurs intérieurs.
En détail, plus de 75 % des microparticules de moins d'un microgramme ont été produites secondairement par la combinaison des éléments polluants tels que des composés organiques volatiles ou de l'oxyde d'azote. Autrement dit, les matières organiques engendrées dans les centrales thermiques ainsi que de l'oxyde d'azote émis par les voitures diesel produisent des microparticules.
Le rapport a également mis en garde contre le toluène, une substance cancérigène dont la quantité est particulièrement élevée dans l'atmosphère sud-coréenne, en recommandant sa diminution.